Aujourd'hui, il est nécessaire d'adapter les pratiques viticoles aux nouvelles contraintes nées de l'assèchement des sols et des conditions météorologiques de plus en plus erratiques et imprévisibles (les fortes chaleurs nous imposent des vendanges menées de plus en plus tôt tandis que la grêle menace chaque année les vignes). Au-delà de la simple prise de conscience, nous nous engageons au quotidien dans la culture de nos vignes à agir pour prévenir les aléas climatiques et respecter l'environnement. Cet enjeu est au coeur de notre métier et va définir l'évolution de notre secteur dans les années et décennies à venir.
Parcelle n°237 (Baron)
Aujourd'hui homologuée HVE* de niveau 4, nos vins ne comptent aucun résidu. Ils sont sulfités au plus près, selon les résultats d'analyses fournis par le laboratoire oenologique de Grézillac.
''Mieux que Bio!" affirme notre partenaire historique Baron Philippe de Rotschild SA.
Certes plus coûteux, les produits utilisés sont pour la plupart biocontrôles. Aucun CMR.
Parcelles A243 (Baron)
Un sol riche, c'est la vie. Nos amendements sont essentiellement organiques, adaptés aux besoins identifiés.
Parcelle AO 157 (Croignon)
Les sols argilos-calcaires sont travaillés pour éviter l'érosion des pluies et permettre au réseau racinaire de résister aux aléas climatiques.
Plusieurs décénies de partenariat avec la maison Baron Philippe de Rotschild (BPHR SA), à qui nous vendons une partie de nos raisins, nous motivent à élaborer un programme phytosanitaire respectueux de la nature et de nos vins.
La majorité de nos produits sont biocontrôlés : aucun CMR ni aucun résidu dans nos jus.
Travail des sols (un rang/deux, alterné tous les 3-4 ans).
Amendement organique sur analyse parcellaire.
Les traitements sont conditionnés à la météorologie. Nous les menons après consultation d'organismes indépendants ainsi que notification des experts de la cave de Rauzan.
Nous recyclons les eaux pluviales pour économiser l'eau.
Nous recyclons nos emballages.
Respect des haies et deszones de jachère, tontes espacées pour préserver les insectes, épamprage manuel ou mécanique.
Nous ne sommes plus chasseurs...
"Pour autant, je ne renie pas ces matinées d'ouverture de la chasse, présage d'une sortie sur "notre domaine" à suivre le vieil épagneul de mon père à courir après un hypothétique gibier", Pierre Desages.
Aujourd'hui, il nous faut pallier aux dégâts grandissants des chevreuils et sangliers.
Nous savourons les confitures de mûres d'Hélène et attendons avec impatience les anémones et les tulipes sauvages qui fleurissent sur nos terres.
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